Colas Devauchelle
est diplômé d'un master pro de cinéma spécialisé en documentaire à l'université. A
la fois réalisateur, monteur et cadreur vidéo, il a majoritairement
mener ses projets en auto-production par le biais de l'association
SUBLASTART (www.sublastart.fr) dont il est membre actif et co-fondateur
depuis près de dix ans. Passionné de voyages et de cultures
alternatives, Colas a signé ses premières vidéos pour Internet sur des
sujets tel que le graffiti, les concerts de musique live, les spectacles
vivants et les arts de la rue. En 2003, il réalise ses premiers
courts-métrage de fictions librement inspiré de fables de Lafontaine. En
2005, il devient cadreur pour le Sattelit-café à Paris et filme près
d'une centaine de concerts de musique du monde pendant trois ans. En
2006, il réalise son premier documentaire sur le graffiti : Autopsie d'un An(art)chisme
. En 2007, son deuxième documentaire, un portrait de
viticulteurs du Beaujolais : Un an de Pif chez tante Hélène est sélectionné dans différents festivals et reçoit le prix
d'encouragement du festival Oenovidéo. En 2008, après huit mois de
voyage itinérant en Asie, il monte deux films dédiés à son projet de
ciné-concert : Toujours + à l'ouest. En 2010, il reprend la route en direction de l'Amérique latine et réalise le troisième volet du ciné-concert Toujours + à l'Ouest.


Musicien autodidacte, Jules Hotrique
s'est
frotté à de multiples vibrations de la scène francilienne actuelle,
en tant que guitariste, bassiste puis tromboniste de latin jazz, funk,
swing, klezmer, rock, fanfare punk, big band, manouche, salsa et
improvisation dirigée (soundpainting). Il entre dans le collectif Pavé Jazz (www.pavejazz.com) en 2004 pour lequel il monte Le Bouche à Oreille, un spectacle interactif de musiques "à la carte". En 2005, il est au cœur du projet de la fanfare psycho-jazz Oméga et en 2009 il crée Le Laboratoire, un atelier de soundpainting. En 2007, il accompagnera la tournée AOLF (Joke, RedFivePointStar, Djmawi Africa, FMR,...)
en ex-Yougoslavie . Il se constitue en même temps un répertoire de
chanson française autour de l'érotisme et de la politique. Passionné
d'harmonie, il invente en 2007 un nouveau clavier électronique
permettant d'apprendre la musique de façon plus instinctive et se
concentre sur son développement au sein de la société dualo qu'il crée
en 2010. Il rejoins le projet TPAO
en 2009 où il y intègre un prototype de son invention : le dualo.
Jules enseigne également les mathématiques dans un collège de
Seine-St-Denis depuis 4 ans.

Après des études en géographie, la musique à totalement conquis la pulsion vitale de Nicolas Bongrand avide d'échanges et de découvertes. Tromboniste depuis 10 ans dans des formations allant du funk au reggae en
passant par l'afro-beat, la samba, ou le rock progressif, Nicolas surfe sur de nombreux styles en y amenant spontanéité et énergie. Coordinateur de l'association PAVE JAZZ, il organise des concerts,
festivals, showcase, résidences, ateliers... par le biais de ce collectif. En 2000, Il intègre le groupe Raspoutine renforçant ses aspirations pour la fusion jazz-funk-rock. C'est à la même époque que l'aventure Pavé jazz commence avec Jam Kopeck, Projet Dunga et bien sûr l'orchestre de Balbazar dont il devient l'un des piliers. Il se familiarise avec le soundpainting et met en place de nombreuses rencontres autour de ce langage musical. En 2009, Balbazar s'internationalise par un échange avec le groupe stambouliote Gevende, l'orchestre par en tournée en Turquie et accueille ses acolytes turcs en France. Nicolas Bongrand joue actuellement dans la formation jazz VAlério Big Band, le groupe de reggae WHITEYS et Anergy Afrobeat. Entant que membre actif de l'association Sublastart, il s'est impliqué dans de nombreux projets alliant musique et vidéo, jusqu'à intégrer la formation du ciné-concert TPAO.
Sébastien Marchand a forgé son jeu de guitariste en autodidacte avec le heavy-metal pour se tourner progressivement vers l'univers du rock
psychédélique des années 70. Ses aspirations musicales évoluent et deviennent de plus en plus éclectiques, ce qui le pousse à participer à diverses formations sur
Paris et Montpellier de rock, funk, jazz, et surtout la fusion tout en pratiquant énormément l'improvisation. Au milieu des années 2000, il se plonge dans les modulateurs sonores et autres multi-effets pour donner une nouvelle dimension à son style musical. Depuis plusieurs années, il expérimente des montages audio à partir de samples extraits d'émissions de télévision alliés à une gamme effets sonores de guitare dans un projet intitulé collision. L'inconscient et les différents degrés de lecture dans la musique sont à la base de l'approche qu'en fait Sébastien qui est également
psychologue pour enfants. Il utilise la musique et le dessin entant qu'art-thérapie auprès des jeunes autistes. Sébastien a participer à de nombreux évènements de l'association sublastart entant que peintre et plasticien, le projet TPAO a été un moyen de pouvoir intégrer ses talents de musiciens.

Roman
Kucharski a commencé l'apprentissage de la basse adolescent pour monter des groupes de heavy-métal avec ses amis collégiens. Mélomane, il cultive au fil des années une culture musicale poussée et de qualité dont découle directement ses inspirations entant que musicien. Du funk-disco avec les Starlighters au trip hop mathématique de Hypnoise qu'il partage avec Florent Jedrewski, il n'oublie pas pour autant le rock qui a forgé son jeu de bassiste. Féru de cinéma, il s'adonne à l'actorat par l'intermédiaire du théâtre amateur, tout en jouant régulièrement dans les courts-métrages de Sublastart. En 2010, il intègre le projet électro-instrumental de H (http://www.myspace.com/cesth) qui lui permet d'expérimenter le sampling et les sons avant-gardistes, tout en découvrant l'univers des studios d'enregistrements. Même si l'inspiration première de Roman se situe dans la musique acoustique, il affectionne particulièrement les effets sonores et les sons électroniques et de manière plus générale la musique liée aux nouvelles technologies. Cette approche originale et diversifiée de la musique lui a permis d'offrir au projet TPAO une rythmique énergique et diversifié. Roman exerce aussi le métier de développeur
informatique.